On sait qu’une grande partie du plastique présent dans l’Océan provient des terres. On sait cependant peu de choses sur le transport des déchets jusqu’à l’Océan. Cette étude tente d’apporter des informations grâce à la technologie GPS.
La dégradation du plastique (et donc la libération de produits toxiques) est plus faible dans les conditions de haute mer (éloignement des côtes et profondeur).
Une nouvelle étude de “Woods Hole Oceanographic Institution” (WHOI) montre que l’efficacité de la pompe à carbone biologique de l’Océan a été massivement sous-estimée, avec de grandes implications pour les futures évaluations climatiques.
Pour réduire la pollution sonore (néfaste pour les mammifères marins), une étude présentée au Parlement européen recommande aux navires de ralentir leur vitesse de navigation de 25% : la “vitesse bleue”.
Cet article traite de la manière dont l’ancrage des navires, et principalement ceux de fort tonnage, vont marquer les fonds marins. Durant la pandémie de Covid, de nombreux navires ont dû être ancrés pour de longues durées et les chaînes des ancres ont effectué des balancements sur les fonds marins qui ont créé de gros dégâts aux écosystèmes benthiques dépendamment de la nature du sol.
L’immense majorité du plastique retrouvé dans les baleines provient d’animaux mangés qui en avait précédemment ingéré. Les baleines qui mangent du Krill ingèrent beaucoup plus de plastique que celles qui mangent du poisson.
L’immense majorité du plastique retrouvé dans les baleines provient d’animaux mangés qui en avait précédemment ingéré. Les baleines qui mangent du Krill ingèrent beaucoup plus de plastique que celles qui mangent du poisson.
La dégradation du plastique (et donc la libération de produits toxiques) est plus faible dans les conditions de haute mer (éloignement des côtes et profondeur).
On sait qu’une grande partie du plastique présent dans l’Océan provient des terres. On sait cependant peu de choses sur le transport des déchets jusqu’à l’Océan. Cette étude tente d’apporter des informations grâce à la technologie GPS.
Les “invertébrés” vivant sur le fond de l’Océan sont particulièrement sensibles à la pollution plastique. Les relevés de la quantité de plastiques dans leurs organismes s’avèrent être de parfait bio-indicateurs.
Les microplastiques sont très présents dans les proies planctoniques du corail et des poissons. Une accumulation se crée dans la chaîne alimentaire. Les dangers pour les organismes sont de plus en plus renseignés par les scientifiques.
Les microplastiques sont omniprésents dans l’Océan mais aussi dans les marais salants (exemple ici avec le Bangladesh). Cela représente une forte exposition humaine à cette pollution.
La pollution plastique offre de nouvelles fixations aux espèces côtières qui s’installent maintenant en haute mer. Balanes, anémones, crustacés (…) se fixent désormais sur les plastiques à la dérive et créent de nouvelles dynamiques écosystémiques.
Cet article montre l’importance d’une meilleure compréhension du cycle du plastique dans l’environnement (origine, transport, décomposition). Cela permettrait de minimiser l’exposition humaine à la pollution plastique.
“Le 7e continent”, la gigantesque décharge de plastiques qui évolue entre Hawaï et la Californie, a été découvert en 1997. Depuis, cet Océan de plastique est observé, analysé mais surtout redouté par la communauté scientifique car il ne fait que grossir.
Les activités de pêche et d’aquaculture génèrent 4 600 tonnes de déchets plastique par an. Cette étude décrit un dispositif de récupération des débris flottants générés par la pêche aux thons.
L’immense majorité du plastique retrouvé dans les baleines provient d’animaux mangés qui en avait précédemment ingéré. Les baleines qui mangent du Krill ingèrent beaucoup plus de plastique que celles qui mangent du poisson.
Un groupe de recherche a mis en évidence les mécanismes de formation de bloom de déchets plastiques dans les estuaires. Leur gestion pourrait permettre de fortement limiter la présence de plastiques en haute mer.
Pour de nombreux scientifiques, les données sur la pollution plastique dans l’Océan sont encore trop peu nombreuses pour rendre efficaces tout accord et législation.