Des études avec capteurs implantés sur la tête de poissons rouges ont permis de montrer qu’ils ont des neurones qui se déclenchent plus rapidement à mesure que l’animal s’approche d’une limite spécifique. Comme les mammifères.
Les poissons rouges surpris s’éloignent des sons soudains grâce à des organes sensoriels le long des flancs qui détectent les vibrations sonores et communiquent avec une paire de neurones dans le cerveau.
Les poissons rouges sont souvent utilisés en laboratoires. Cette étude a malheureusement montré que les terrains de sports en pelouses synthétiques sont de grandes menaces pour la biodiversité. De nombreux animaux peuvent ingérer ce microplastique par erreur.
Cette étude démontre expérimentalement que la fixation génétique rapide des mutations morphologiques au cours d’une courte période de domestication peut être liée à la robustesse des mécanismes de développement embryonnaire chez les poissons rouges.
L’aquaculture aurait commencée 6000 ans avant JC. Cela soulève la possibilité que les systèmes de culture du riz et de la co-culture du poisson soient beaucoup plus anciens qu’on ne le recherche suggère que les carpes ont ensuite été domestiquées de manière indépendante à deux reprises, une fois en Europe et une fois en Asie.
L’utilisation d’artémies en complément alimentaire permet aux poissons rouges de développer leurs couleurs de manière spectaculaire et de croitre plus rapidement.
Les articles suivants nous ont été généreusement conseillés par nos aquariums partenaires au Japon. Ils sont le fruit des recherches de Koki Ikeya (Gifu World Freshwater Aquarium).
Des techniques d’imageries en 3D ont permis d’estimer la taille de poissons chats géants du Mékong. Cette méthode sans contact est particulièrement utile pour le suivi de ces animaux en aquarium ou dans les zones d’études délicates en milieu naturel.
Un gène responsable de la désaturation des acides gras est à l’origine de la dispersion géographique des poisons d’eau douce. C’est un schéma totalement différent de celui des animaux marins.
Au Japon, la dynamique génétique de certains poissons captifs est étudiée depuis plus de 11 ans. Ces résultats sont des mines d’or pour la protection d’espèces menacées dans le milieu naturel.
Des expériences ont permis de mettre en avant le rôle de l’apprentissage des juvéniles dans la manière de se nourrir chez les cichlidés. Jusqu’ici, l’apport génétique était le seul phénomène mis en avant.