Les poissons cichlidés du lac Malawi sont toujours autant étudiés pour leurs évolutions génétiques et morphologiques. Cet article illustre comment l’épigénétique joue sur la création de nouvelles espèces.
La lutte contre les maladies véhiculées par les moustiques pourrait être accélérée par un composant présent dans… Les sardines ! Des études concluantes sur le sujet sont présentées dans cet article.
Les otolithes (pièces calcifiées dans la tête des poissons) sont des mines d’informations sur un individu. L’utilisation de la technique de spectroscopie “Raman” sur les otolithes permet de retracer le parcours migratoire d’un poisson.
Des mulets capturés en Méditerranée et relâchés en Mer de Galilée ont été infectés par un parasite qui se transmet rapidement. Les scientifiques mettent en alerte les pêcheurs et les éleveurs.
Les conditions climatiques, géographiques et météorologiques sont aussi importantes que les activités humaines parmi les facteurs qui entraînent des invasions de poissons d’eau douce.
Les poissons sabres (Trichiurus) sont des animaux méconnus vivant dans les profondeurs. Un groupe de recherche s’attache à reconstituer leur histoire génétique du Pléistocène à Aujourd’hui.
“La schizothoracine à grosse tête est une espèce de poisson de la famille des Cyprinidae proche de l’extinction. L’étude complète de son génome pourrait permettre de protéger l’espèce et plus largement les poissons d’eau douce. “
Certaines colonies de poissons du sud-ouest de l’Atlantique montrent une bonne résilience face au changement climatique et à la diminution des populations de coraux. Un cas suffisamment rare pour être signalé.
La reproduction des anguilles est un des plus grands mystères en océanographie. Les premières preuves directes d’anguilles européennes adultes migrant vers leur lieu de reproduction dans la mer des Sargasses ont été collectées récemment.
Cette étude montre un niveau de rotation des chromosomes sexuels encore plus élevé qu’on le pensait chez les cichlidés. Cela pourrait expliquer la spéciation (création d’espèces) rapide de cette famille de poissons.
Les Marlins rayés semblent se coordonner pour chasser dans les bancs de poissons. Cependant, le partage des proies est très inéquitable. Les individus nouvellement arrivés dans les groupes de chasse semblent être avantagés
Le microbiote de 101 espèces de poissons marins a été consciencieusement analysé. Les poissons ont une diversité microbienne (et une exposition aux microbes) beaucoup plus élevée que les mammifères marins.
Le prélèvement des otolithes (partie calcifiée dans la tête) est mortel chez les poissons, mais nécessaire pour leur étude. Cet article montre comment un prélèvement sanguin non létal pourrait le remplacer pour les espèces menacées (ex: les anguilles).
Cette étude spectaculaire compare les pertes et gains d’énergie (après consommation des proies) pour des poissons voiliers qui chasseraient en solitaire plutôt qu’en groupe. Ceux capables de chasser seuls seraient avantagés…
Les sébastes-chèvres (et probablement d’autres espèces proches) ont des espérances de vie particulièrement élevées. Certains individus atteignent les 90 ans ! Ces informations sont capitales pour protéger ces espèces de la surpêche
Les poissons-anges sont des espèces très souvent hybridées en aquariums. Cette étude montre que le changement progressif des microbes dans leurs intestins est un début de spéciation chez ces animaux.
Cet article détaille un protocole photographique non invasif permettant d’étudier les hippocampes sans les endommager. Ce sont des animaux fragiles et souvent menacés.
L’étude du plancton sédimentaire ou glaciaire permet de reconstituer les climats passés. De forts gradients de température à l’ère glaciaire dans l’Océan Atlantique Nord ont été révélés ainsi. Comprendre le climat passé, c’est anticiper le climat futur.
Le génome du poisson de glace chinois (Neosalanxtaihuensis) a été entièrement compilé, sans lacune. C’est un pas important dans sa conservation car c’est un animal fortement exploité par les humains.