Les USA importent beaucoup plus de fruits de mer qu’ils n’en produisent. Le gouvernement a donc mis en place un développement massif de l’aquaculture : approuvé par les économistes mais vilipendé par les scientifiques.
Les activités de pêche et d’aquaculture génèrent 4 600 tonnes de déchets plastique par an. Cette étude décrit un dispositif de récupération des débris flottants générés par la pêche aux thons.
De + en + de compilations statistiques sur les poissons voient le jour. Elles permettent de connaître les schémas de reproduction et de migration et optimiser la pêche durable et responsable pour les protéger. Cette étude en est un nouvel exemple.
Le remplacement de la viande par du poisson ou des fruits de mer pourrait réduire l’empreinte carbone mondiale sans compromettre la nutrition. Évidemment, il faut que ces produits soient issus d’une aquaculture ou une pêche durable et responsable.
Cette étude montre que des pêches à petites échelles, locales, durables et responsables permettent d’assurer la sécurité alimentaire. Le cas choisi pour imager cette étude est celui de la Norvège.
“La création d’aires marines protégées montre des résultats positifs sur les populations de poissons menacés comme les thons. Cet article présente le cas d’Hawaï, où les statistiques sont très encourageantes.”
Les mollusques et les crustacés sont peut-être la clef d’une alimentation en protéines convenable pour la population mondiale. Le maintien de leur bien-être en aquaculture pose question et les recherches à ce sujet se multiplient.
Les bateaux de pêche d’Espagne, de Chine, de Taïwan et des États-Unis ont tendance à masquer leur position lors de la navigation. Cela pose des problèmes évidents de suivi et représente un frein pour lutter contre la pêche illégale.
Le taux de capture baisse mais la demande en poissons augmente. Le constat des scientifiques (concernant les directives prises en Chine) est qu’il faut développer l’aquaculture et mieux prendre en compte les données écologiques de chaque espèce.
On classe comme “poisson” tout ce qui sort des filets de pêche. Pourtant, les apports nutritifs sont très différents selon les espèces. 2 348 espèces ont été étudiées pour identifier les poissons les plus nutritifs dans 39 en difficulté alimentaire.
Avec le réchauffement climatique et la surpêche, les réserves de poissons diminuent. L’aquaculture est probablement une solution pour continuer à nourrir l’humanité sans faire chuter la biodiversité. Reportage en région PACA.
Cette étude montre l’impact des prédateurs sur les communautés de poissons dans les rivières de Chine. La prédation est une donnée clef, mal estimée, qu’il faudra d’avantage intégrer dans les suivis statistiques de protection de la biodiversité.
Les aires marines protégées atténuent la perte de biodiversité subie par l’Océan face aux vagues de chaleurs marines. Elles permettraient également une restauration de la biodiversité 75% plus rapide face à ses accidents que dans les zones non protégées.
Le poulpe est pêché de manière assez artisanale et durable dans le monde. Il est, de plus, riche en nutriments utiles à la santé humaine. Sa capture à petite pourrait être un outil pour le développement de la pêche durable et responsable.
L’utilisation de microalgues dans la nutrition des poissons d’aquaculture pourrait aider à diminuer les pressions de pêche. Cet article montre des résultats positifs mais souligne des interrogations à long terme.
Si l’élevage de poisson est une des façons les plus écologiques de produire des protéines, il semble cependant subsister un problème important. Une petite fraction de la surface de la Terre supporte presque tout le poids environnemental des élevages.
Le thon albacore est menacé par la surpêche. L’étude des données de pêche permet de connaître les préférences d’habitats et les trajectoires de migration des thons en fonction de leur masse. Des résultats essentiels pour la protection de ces animaux.
Le réchauffement de l’Océan ne détruira pas intégralement les récifs coralliens mais en changera grandement la biomasse. Les impacts sur la ressource en pêche pourraient être très importants.
Les aires marines protégées alimentent le débat : permettent-elles des co-bénéfices entre les poissons et les humains ? Ou sont-elles seulement des compromis ? Cette étude montre que leur mise en place apporte aussi de nombreux avantages aux humains.
Selon certaines estimations, les stocks de thons devraient augmenter dans des zones où l’installation d’industrie minière en eaux profondes est prévue. Cela entraînerai un chevauchement d’activités (pêche et forage) et donc un risque de conflit fort.
L’ADN environnemental est collecté dans l’environnement plutôt que directement sur un organisme. Son étude est une méthode fiable, rapide et précise pour mesurer l’état des stocks de poissons dans le cadre d’une surveillance des pêcheries.
Cette étude scientifique vise à fournir des points de référence pour estimer les stocks durables d’espèces pêchées sur les récifs. Cela permet de déterminer la santé de l’écosystème et la quantité de poisson possible à prélever de façon durable.
Toutes les populations de truites-arc-en-ciel n’ont pas la même résistance face à l’augmentation des températures suivant leur origine géographique. Une donnée à prendre en compte dans la préservation de cette espèce commercialisée.
Des scientifiques étudient les régimes alimentaires des sardines, sprats et anchois en Méditerranée (ainsi que le chevauchement de leurs réseaux alimentaires). Le but est de pouvoir prédire les dynamiques de populations et gérer durablement la pêche.
Les impacts des vagues de chaleur marines sur les principales distributions des prédateurs sont variables mais prévisibles. Un outil développer par des scientifiques peut prédire ces dynamiques en temps quasi-réel.
Cet article montre comment une combinaison “parc éolien offshore + parc d’aquaculture” pourrait relever les défis environnementaux et alimentaires à venir. L’aquaculture en question serait celle du kelp et des moules.
Les subventions de pêche dans l’Océan Indien exacerbent les inégalités dans l’accès aux nutriments (principalement les fruits de mer) et accentue la surpêche au détriment de la pêche durable.