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REQUIN

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Un nouveau dispositif pourrait permettre d’éviter la pêche accidentelle de requins, dont la population baisse drastiquement. Il s’agit d’un émetteur électrique permettant de garder les requins à distance pendant les pêches.

Une équipe de scientifiques a utilisé un hélicoptère et un drone pour capturer les premières images aériennes d’orques chassant et tuant des grands requins blancs en Afrique du Sud. Une technologie qui s’avère prometteuse.

Pendant des millions d’années, les requins ont connu de nombreuses adaptations face aux changements climatiques et géologiques. Loins d’êtres figés dans le temps, les requins ont connu une grande diversification (en espèces) jusqu’à aujourd’hui.

Une initiative citoyenne européenne pour interdire le commerce des ailerons de requin a remporté un succès retentissant. Il s’agit seulement de la huitième initiative citoyenne européenne à franchir le seuil du million de signatures.

Près des deux tiers (59 %) des 134 espèces de requins et de raies de récifs sont menacées d’extinction. Cette étude montre l’urgence de gérer les pêches de manière durable et l’importance des aires marines protégées.

Certaines espèces de requins subissent des isolements géographiques et se différencient spécifiquement. Cela amène certaines populations à être plus vulnérables face à certaines maladies. Étude de cas avec les requins citrons.

Un groupe de chercheurs a produit une vingtaine de solutions chimiques capables de remplacer le squalène dans la fabrication de certains vaccins. Une belle perspective pour soulager les populations de requins.

La reproduction des requins est beaucoup moins efficace que celle des poissons osseux. Ce handicap évolutif, combiné à la surpêche, menace grandement les populations de requins. 

Les aires marines protégées, quand elles le sont vraiment, fournissent des habitats à certains animaux vulnérables. Exemple ici au Mozambique où certaines espèces de requins en profitent et consolident leurs effectifs. 

Les scientifiques s’interrogent sur le devenir des poissons prédateurs “intermédiaires” situés au milieu des chaînes alimentaires avec la disparition progressive des requins. Tentatives de prédictions avec le protocole décrit dans cet article.

Chez les requins, l’évolution de la mâchoire serait en corrélation avec l’habitat, la taille, le régime, le niveau trophique et la taxonomie. En connaissant ces paramètres, des évolutions peuvent être prédites et la sauvegarde ce ces animaux facilités.

Les requins marteaux seraient capables de retenir leur respiration. Volontairement ou non (c’est à déterminer), cela leur donne l’avantage de pouvoir conserver plus de chaleur lorsqu’ils chassent en profondeur.

Pour avoir plus de chance d’observer les requins-tigres, des clubs de plongée utilisent des appâts nutritifs. Dans le développement de l’écotourisme, cette pratique est étudiée par les scientifiques pour connaître son impact sur les requins.

Lors de la dernière extinction de masse, il y a 66 millions d’années, 62 % des espèces de raies et de requins se sont éteintes. Le régime alimentaire et la répartition géographique des différents groupes ont conditionné leur disparition.

Pour protéger les élasmobranches, les scientifiques développent des modèles mathématiques pour évaluer les dynamiques spatio-temporelles des espèces. Cet article propose l’intégration de données qui permettraient une meilleure fiabilité des modèles.

“Le requin dormeur bouledogue présente des divergences génétiques en fonction de la formation des îles et le niveau historique de la mer. Un processus de spéciation longtemps resté inconnu. “ 

La détermination des rapports isotopiques des dents d’une population de Requin taureau en fonction du stade de développement et du sexe a permis de mettre en évidence que les femelles adultes se nourrissent principalement d’animaux situé dans le haut du réseau trophique.

Une population pourtant bien-portante de grands requins blancs en Afrique du Sud a pratiquement disparu après l’augmentation de la prédation des orques. 

L’observation des requins lors d’activité touristique permet de donner une “valeur économique” à ces animaux et aider les états à les protéger de la surpêche. Mais ces activités peuvent avoir des effets néfastes sur leurs comportements et leur survie.

Une étude d’ampleur a étudié les facteurs génétiques, biologiques, alimentaires, géographiques et comportementaux qui déterminent le succès des juvéniles requins pointe-noire. Le but est d’arriver à protéger les espèces de requins, grandement menacées.

Les populations de grands requins blancs en Afrique du Sud sont stables, pourtant leurs observations sont de plus en plus rares. La raison est certainement liée à la présence d’un prédateur encore plus redoutable: l’Orque.

Malgré l’aspect positif que peut avoir la médiation autour des requins, la pression due à «l’écotourisme» pourrait avoir de lourdes conséquences sur ces animaux. Leur comportement et leurs dépenses d’énergie semble être perturbés lors de trop fortes présences humaines.

Certains requins côtiers entrent dans les estuaires de façon saisonnière selon la température et la disponibilité des ressources alimentaires. Les modifications de ces paramètres entraînent un chevauchement inquiétant des niches écologiques des requins.

Les requins sont une lignée à évolution lente et présentant des taux de cancer exceptionnellement faibles. Ces deux caractéristiques pourraient s’expliquer par un faible taux de mutation nucléaire. Ce qui semble se vérifier pour le requin chabot ocellé.

Cette étude met en évidence la vulnérabilité de la diversité fonctionnelle (variété des réponses que les espèces d’un écosystème apportent à un changement) des raies et requins et révèle l’importance de ces animaux pour la biodiversité fonctionnelle.

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